Contribution à l’étude de l’alexithymie comme facteur favorisant la consommation de drogue chez l’adolescent
الكلمات المفتاحية:
alexithymie، consommation de drogue chez l’adolescentالملخص
La toxicomanie est l’un des principaux problèmes auxquels la société actuelle est confrontée. Elle entraîne la destruction de l’homme et la perte de ce que la société a de plus précieux : la jeunesse, en d’autres termes« ses adolescents ».
Cette étude clinique suppose l’existence d’un dysfonctionnement émotionnel connu sous le nom d’alexithymiequi serait en cause dans la conduite toxicomane chez l’adolescent.
Les symptômes recueillis auprès des adolescents répondent positivement à notre hypothèse. En effet, nous avons pu révéler, chez presque tous les cas étudiés, la présence d’une incapacité à exprimer ses sentiments, une activité fantasmatique limitée, des symptômes physiques et une pensée à contenu pragmatique excluant toute dimension imaginaire.
التنزيلات
المراجع
- Adès, J., Lejoyeux, M., Tassain, V. (1994). Sémiologie des conduites de risques.
- Encyclopédie médico-chirurgicale, Psychiatrie 37(114-A-70).
- Conférence internationale des Nations Unies sur l'abus et le trafic illicites des drogues, Vienne, 17-26 juin 1987 (publication des Nations Unies, numéro de vente : F.87.I.18), chap. I, sect. A.
- Coslin, P. (2003). Les conduites à risque à l’adolescence, Paris, Armand Colin
- Crocos, M. et Sperenza, M. (2003). Psychopathologie de l'alexithymie. Paris, Dunod.
- Dethieux, J.B., Dounet, C., HAazan, F. (2001). A la recherche des émotions perdues. L’adolescente anorexique et son père. Etude préliminaire à propos de l’hypothèse alexithymique. In Neuropsychiatrie de l’enfance et de l’adolescence. Vol 49, 131-140.
- Haviland MG, Shaw DG, Cummings MA, MacMurray JP. (1988). Alexithymia, subscales and relationship to depression. Psychotherapy and Psychosomatics, 50 : 164-70
- Luminet, O. (2008). psychologie des émotions : confrontation et évitement. Paris, De Boeck
- Michel, G., Carton, S. &Jouvent, R. (1997). Recherche de sensations et anhédonie
- dans les conduites de prise de risque : Etude d'une population de sauteurs à l'élastique. L’Encéphale, 23. 403-411.
- Ofice national de la lutte contre la drogue et la toxicomanie, http://www.onlcdt.mjustice.dz/onlcdt_fr/donnees_statistiques/bilan[2014].pdf, consulte le 3 juin 2014
- Organisation Mondiale de la Santé (1993), Comité OMS d’experts de la pharmacodépendance. Vingt-huitième rapport. Série de rapports techniques-836. O.M.S-Genève. En ligne :http://apps.who.int/medicinedocs/en/d/Js4897f/8.html. consulté le 06 octobre 2011.
- Pedinielli, J.-L. (1992). Psychosomatique et Alexithymie. Paris, PUF.
- Selosse, J. (1972). Phénomènes grégaires chez les jeunes. Paris, Ed. du CNRS.
- Taylor, GJ., Parker, JDA &, Bagby RM. (1990). A preliminary investigation of alexithymia in men with psychoactive substance dependence. In American Journal of Psychiatry, 147 (9) : 1228-30
- Trull, T. J., &Sher, K. J. (1994). Relationship between the five-factor model of personality and Axis I disorders in a nonclinical sample.Journal of AbnormalPsychology, 103, 350-360
- Vorst, H. C., &Bermond, B. (2001). Validity and reliability of the Bermond-Vorst. Alexithymia Questionnaire. Personality and Individual Differences, 30, 413-434.
